Beau discours marketing selon moi ...sebastienp a écrit :Disons que la partie production nécessite un véritable savoir-faire car entre la pièce produite en low-cost sans aucune résistance
Ca n'a rien à voir, les machines que vous citez ne font tout simplement pas la même chose, dans les exemples que vous citez en photos sur votre premier message, ça n'a rien à voir avec une production pro.sebastienp a écrit : C'est la question de savoir s'il on souhaite une fabrication amateure ou professionnelle, mais naturellement la modélisation fait partie intégrante de la valeur ajoutée du process de refabrication ; les 2 ingénieurs méca & matériaux avec lesquels je travaille ont ce savoir-faire et cette passion.
Ensuite avoir une équipe de 2 ingénieurs méca & matériaux pour utiliser une Fortus 250, sans aucune identité commerciale, j'avoue ne pas bien comprendre la logique.
Je ne vois pas en quoi ça donne du crédit à la proposition, teddy bear stories hum ?sebastienp a écrit :
Une Ultimaker, vous me dites... Vous reconnaîtrez la pièce en question, ainsi que la machine en action (Fortus 250mc...).
Voilà un discours qui ressemble plus à ce que je pense de la pratique de départ, à savoir proposer une activité dans une démarche marketing indépendamment du produit que l'on vend. C'est quand même un peu aux antipodes d'une proposition d'un service à des passionnés de voiture ancienne.sebastienp a écrit : Difficile de vous laisser dire cela dans un éco-système entrepreneurial qui, justement, est en pleine phase d'expansion en France depuis 2014. Les levées à +1M€ sont aujourd'hui quotidiennes en France ; lisez Frenchweb/Challenges et regardez du côté des fils d'actualité d'Angel list, Tech Crunch ou encore de TheFamilly s'il faut encore vous en convaincre. Nous avons fait valider notre business model par plusieurs VC autrichiens et sommes actuellement suivis par un fond d'investissement du secteur automobile sud-tyrolien.
http://newsroom.em-strasbourg.eu/la-ruc ... 70820.kjspsebastienp a écrit : Il s'agirait de ne pas vous avancer sans être sûrs de vos infos, cher ami passionné.
;-)
Détrompez-vous, aucune animosité, relisez mes propos. Il me semble qu'une entreprise ayant déjà fait un investissement en machine et en hommes, comme vous l'avez signalé à plusieurs reprises, devrait être facilement identifiable tout comme son ou ses dirigeants etc. C'est bien la démarche que je critique pas l'esprit d'entreprise. Il faut aussi s'entendre sur l'esprit d'entreprise, car si il vise à copier ce que font les américains en terme d'investissement, on en est pas là du tout (mentalité différente). Les investisseurs en France sont largement moins prompt à prendre des risques, tout comme les banquiers.sebastienp a écrit : Je ne sais pas d'où vient votre animosité pour l'environnement entrepreneurial français, mais elle semble effectivement bien ancrée
Sur le principe d'utiliser les services d'un Fab lab subventionné par les impôts du contribuable pour produire de la pièce en imprimante 3D de petite série pour le compte d'une entreprise oui ça me semble pas logique.
Comme on dit c'est au pied du mur que l'on voit le maçon ...
On verra, si votre projet tiendra la route une fois que vous aurez ciblé les coûts de fabrication ...
C'est généralement à ce stade que les intéressés du départ finissent par ne plus l'être.