Sondage sur l'écologie
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Sondage sur l'écologie
Donnez votre opinion sur la situation de la pollution actuelle
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Re: Sondage sur l'écologie
Le "C'est préoccupant, mais nos dirigeants sont aux commandes" m'a bien fait rire, tu as réussi à l'écrire sans trembler ?
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Re: Sondage sur l'écologie
C'est peu dire 7Jidé de Grasse a écrit :Le "C'est préoccupant, mais nos dirigeants sont aux commandes" m'a bien fait rire, tu as réussi à l'écrire sans trembler ?
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Re: Sondage sur l'écologie
Je ne vois pas : C'est préoccupant, rien à battre....
Re: Sondage sur l'écologie
le péril en la demeure ce n’est plus les dérives du climat causé par l’excès de gaz carbonique, le péril c’est plutôt le malade mental russe.
Re: Sondage sur l'écologie
Tout à fait d'accord !saby a écrit :le péril en la demeure ce n’est plus les dérives du climat causé par l’excès de gaz carbonique, le péril c’est plutôt le malade mental russe.
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Re: Sondage sur l'écologie
C'est aussi peut-être l'Uncle Jo, qui pousse , qui pousse...Pour maintenir la seule industrie qui marche encor bien aux States, celle du matos de guerre. (pour les soldats, c'est fini, s'en veulent plus des drapeaux pliés en triangle... et puis c'est si simple d'habiller les européens en treillis .
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Re: Sondage sur l'écologie
le malade mental russe
De plus en isolé et décrédibilisé?
De plus en isolé et décrédibilisé?
mer. 21 septembre 2022 à 2:25 PM
Kremlin Press Office / Handout / Anadolu Agency / Getty Images
Après des mois passés à ménager son allié russe, la Chine a fini par se positionner ce mercredi 21 septembre en faveur d’un « cessez-le-feu » en Ukraine (photo d’archive prise en février 2022 à Pékin).
GUERRE EN UKRAINE - C’est une évolution dans le positionnement de Pékin par rapport au conflit ukrainien. La Chine a appelé ce mercredi 21 septembre à un « cessez-le-feu à travers le dialogue » dans le conflit armé engagé en février en Ukraine. Une sortie qui fait suite à l’allocution du président russe Vladimir Poutine annonçant une mobilisation militaire partielle de la population.
« Nous appelons les parties concernées à mettre en place un cessez-le-feu à travers le dialogue et la consultation, et à trouver une solution qui règle les préoccupations sécuritaires légitimes de toutes les parties dès que possible », a déclaré un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, lors d’une conférence de presse.
Ménager la chèvre et le chou
Un revirement après avoir tenté de ménager la chèvre et le chou pendant des mois, en restant auprès de son allié géopolitique principal qu’est la Russie de Vladimir Poutine sans pour autant aliéner la relation avec les partenaires économiques ukrainiens et le monde occidental.
C’est en ce sens qu’au mois de mars dernier, quinze jours après le début de l’invasion russe, la Chine s’était abstenue lors du vote à l’ONU d’une résolution exigeant le malade mental russe« que la Russie cesse immédiatement de recourir à la force » et « retire immédiatement, complètement et sans conditions toutes ses forces militaires ».
Pas plus tard que la semaine dernière, lors d’une rencontre entre les dirigeants de l’Organisation de coopération de Shanghai qui se déroulait en Ouzbékistan, Xi Jinping et Vladimir avaient encore affiché leur proximité et leur solidarité, se positionnant clairement en opposition avec le monde occidental.
Un conflit « déploré », et puis c’est tout
« La Chine est disposée à travailler avec la Russie pour assumer leur responsabilité de grandes puissances, jouer un rôle de premier plan et injecter de la stabilité et de l’énergie positive dans un monde parcouru par le chaos », déclarait par exemple le président chinois, avant de continuer en interview pour expliquer qu’il désirait « approfondir la coopération » avec le Kremlin. Des mots dans la continuité de leur rencontre précédente, lors des Jeux olympiques d’hiver de février, quand ils avaient clamé leur « amitié sans limite », quelques jours avant le début de l’offensive en Ukraine.
Depuis, la Chine s’était donc abstenue de toute prise de position approuvant et fustigeant l’invasion. Ce qu’avait semble-t-il accepté Vladimir Poutine. Le chef de l’État russe avait ainsi déclaré en Ouzbékistan « comprendre (ses) questions et (ses) inquiétudes » des Chinois concernant la guerre. « Nous expliquerons en détail notre position », ajoutait-il, sans donner plus de précisions.
Symbole de la recherche d’équilibre qui sous-tend la position chinoise depuis le début du conflit, une sortie de Wang Yi, le ministre des Affaires étrangères de Pékin, qui en mars expliquait « regretter profondément » le conflit. Une manière de ne pas approuver la guerre sans pour autant charger ni son allié russe, ni ses partenaires commerciaux. Une ligne de crête dont Pékin a donc commencé à s’écarter ce mercredi 21 septembre
Kremlin Press Office / Handout / Anadolu Agency / Getty Images
Après des mois passés à ménager son allié russe, la Chine a fini par se positionner ce mercredi 21 septembre en faveur d’un « cessez-le-feu » en Ukraine
GUERRE EN UKRAINE - C’est une évolution dans le positionnement de Pékin par rapport au conflit ukrainien. La Chine a appelé ce mercredi 21 septembre à un « cessez-le-feu à travers le dialogue » dans le conflit armé engagé en février en Ukraine. Une sortie qui fait suite à l’allocution du président russe Vladimir Poutine annonçant une mobilisation militaire partielle de la population.
« Nous appelons les parties concernées à mettre en place un cessez-le-feu à travers le dialogue et la consultation, et à trouver une solution qui règle les préoccupations sécuritaires légitimes de toutes les parties dès que possible », a déclaré un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, lors d’une conférence de presse.
Ménager la chèvre et le chou
Un revirement après avoir tenté de ménager la chèvre et le chou pendant des mois, en restant auprès de son allié géopolitique principal qu’est la Russie de Vladimir Poutine sans pour autant aliéner la relation avec les partenaires économiques ukrainiens et le monde occidental.
C’est en ce sens qu’au mois de mars dernier, quinze jours après le début de l’invasion russe, la Chine s’était abstenue lors du vote à l’ONU d’une résolution exigeant « que la Russie cesse immédiatement de recourir à la force » et « retire immédiatement, complètement et sans conditions toutes ses forces militaires ».
Pas plus tard que la semaine dernière, lors d’une rencontre entre les dirigeants de l’Organisation de coopération de Shanghai qui se déroulait en Ouzbékistan, Xi Jinping et Vladimir avaient encore affiché leur proximité et leur solidarité, se positionnant clairement en opposition avec le monde occidental.
Un conflit « déploré », et puis c’est tout
« La Chine est disposée à travailler avec la Russie pour assumer leur responsabilité de grandes puissances, jouer un rôle de premier plan et injecter de la stabilité et de l’énergie positive dans un monde parcouru par le chaos », déclarait par exemple le président chinois, avant de continuer en interview pour expliquer qu’il désirait « approfondir la coopération » avec le Kremlin. Des mots dans la continuité de leur rencontre précédente, lors des Jeux olympiques d’hiver de février, quand ils avaient clamé leur « amitié sans limite », quelques jours avant le début de l’offensive en Ukraine.
Depuis, la Chine s’était donc abstenue de toute prise de position approuvant et fustigeant l’invasion. Ce qu’avait semble-t-il accepté Vladimir Poutine. Le chef de l’État russe avait ainsi déclaré en Ouzbékistan « comprendre (ses) questions et (ses) inquiétudes » des Chinois concernant la guerre. « Nous expliquerons en détail notre position », ajoutait-il, sans donner plus de précisions.
Symbole de la recherche d’équilibre qui sous-tend la position chinoise depuis le début du conflit, une sortie de Wang Yi, le ministre des Affaires étrangères de Pékin, qui en mars expliquait « regretter profondément » le conflit. Une manière de ne pas approuver la guerre sans pour autant charger ni son allié russe, ni ses partenaires commerciaux. Une ligne de crête dont Pékin a donc commencé à s’écarter ce
mercredi 21 septembre.Kremlin Press Office / Handout / Anadolu Agency / Getty Images
Après des mois passés à ménager son allié russe, la Chine a fini par se positionner ce mercredi 21 septembre en faveur d’un « cessez-le-feu » en Ukraine (photo d’archive prise en février 2022 à Pékin).
GUERRE EN UKRAINE - C’est une évolution dans le positionnement de Pékin par rapport au conflit ukrainien. La Chine a appelé ce mercredi 21 septembre à un « cessez-le-feu à travers le dialogue » dans le conflit armé engagé en février en Ukraine. Une sortie qui fait suite à l’allocution du président russe Vladimir Poutine annonçant une mobilisation militaire partielle de la population.
« Nous appelons les parties concernées à mettre en place un cessez-le-feu à travers le dialogue et la consultation, et à trouver une solution qui règle les préoccupations sécuritaires légitimes de toutes les parties dès que possible », a déclaré un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, lors d’une conférence de presse.
Ménager la chèvre et le chou
Un revirement après avoir tenté de ménager la chèvre et le chou pendant des mois, en restant auprès de son allié géopolitique principal qu’est la Russie de Vladimir Poutine sans pour autant aliéner la relation avec les partenaires économiques ukrainiens et le monde occidental.
C’est en ce sens qu’au mois de mars dernier, quinze jours après le début de l’invasion russe, la Chine s’était abstenue lors du vote à l’ONU d’une résolution exigeant le malade mental russe« que la Russie cesse immédiatement de recourir à la force » et « retire immédiatement, complètement et sans conditions toutes ses forces militaires ».
Pas plus tard que la semaine dernière, lors d’une rencontre entre les dirigeants de l’Organisation de coopération de Shanghai qui se déroulait en Ouzbékistan, Xi Jinping et Vladimir avaient encore affiché leur proximité et leur solidarité, se positionnant clairement en opposition avec le monde occidental.
Un conflit « déploré », et puis c’est tout
« La Chine est disposée à travailler avec la Russie pour assumer leur responsabilité de grandes puissances, jouer un rôle de premier plan et injecter de la stabilité et de l’énergie positive dans un monde parcouru par le chaos », déclarait par exemple le président chinois, avant de continuer en interview pour expliquer qu’il désirait « approfondir la coopération » avec le Kremlin. Des mots dans la continuité de leur rencontre précédente, lors des Jeux olympiques d’hiver de février, quand ils avaient clamé leur « amitié sans limite », quelques jours avant le début de l’offensive en Ukraine.
Depuis, la Chine s’était donc abstenue de toute prise de position approuvant et fustigeant l’invasion. Ce qu’avait semble-t-il accepté Vladimir Poutine. Le chef de l’État russe avait ainsi déclaré en Ouzbékistan « comprendre (ses) questions et (ses) inquiétudes » des Chinois concernant la guerre. « Nous expliquerons en détail notre position », ajoutait-il, sans donner plus de précisions.
Symbole de la recherche d’équilibre qui sous-tend la position chinoise depuis le début du conflit, une sortie de Wang Yi, le ministre des Affaires étrangères de Pékin, qui en mars expliquait « regretter profondément » le conflit. Une manière de ne pas approuver la guerre sans pour autant charger ni son allié russe, ni ses partenaires commerciaux. Une ligne de crête dont Pékin a donc commencé à s’écarter ce mercredi 21 septembre
Kremlin Press Office / Handout / Anadolu Agency / Getty Images
Après des mois passés à ménager son allié russe, la Chine a fini par se positionner ce mercredi 21 septembre en faveur d’un « cessez-le-feu » en Ukraine
GUERRE EN UKRAINE - C’est une évolution dans le positionnement de Pékin par rapport au conflit ukrainien. La Chine a appelé ce mercredi 21 septembre à un « cessez-le-feu à travers le dialogue » dans le conflit armé engagé en février en Ukraine. Une sortie qui fait suite à l’allocution du président russe Vladimir Poutine annonçant une mobilisation militaire partielle de la population.
« Nous appelons les parties concernées à mettre en place un cessez-le-feu à travers le dialogue et la consultation, et à trouver une solution qui règle les préoccupations sécuritaires légitimes de toutes les parties dès que possible », a déclaré un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, lors d’une conférence de presse.
Ménager la chèvre et le chou
Un revirement après avoir tenté de ménager la chèvre et le chou pendant des mois, en restant auprès de son allié géopolitique principal qu’est la Russie de Vladimir Poutine sans pour autant aliéner la relation avec les partenaires économiques ukrainiens et le monde occidental.
C’est en ce sens qu’au mois de mars dernier, quinze jours après le début de l’invasion russe, la Chine s’était abstenue lors du vote à l’ONU d’une résolution exigeant « que la Russie cesse immédiatement de recourir à la force » et « retire immédiatement, complètement et sans conditions toutes ses forces militaires ».
Pas plus tard que la semaine dernière, lors d’une rencontre entre les dirigeants de l’Organisation de coopération de Shanghai qui se déroulait en Ouzbékistan, Xi Jinping et Vladimir avaient encore affiché leur proximité et leur solidarité, se positionnant clairement en opposition avec le monde occidental.
Un conflit « déploré », et puis c’est tout
« La Chine est disposée à travailler avec la Russie pour assumer leur responsabilité de grandes puissances, jouer un rôle de premier plan et injecter de la stabilité et de l’énergie positive dans un monde parcouru par le chaos », déclarait par exemple le président chinois, avant de continuer en interview pour expliquer qu’il désirait « approfondir la coopération » avec le Kremlin. Des mots dans la continuité de leur rencontre précédente, lors des Jeux olympiques d’hiver de février, quand ils avaient clamé leur « amitié sans limite », quelques jours avant le début de l’offensive en Ukraine.
Depuis, la Chine s’était donc abstenue de toute prise de position approuvant et fustigeant l’invasion. Ce qu’avait semble-t-il accepté Vladimir Poutine. Le chef de l’État russe avait ainsi déclaré en Ouzbékistan « comprendre (ses) questions et (ses) inquiétudes » des Chinois concernant la guerre. « Nous expliquerons en détail notre position », ajoutait-il, sans donner plus de précisions.
Symbole de la recherche d’équilibre qui sous-tend la position chinoise depuis le début du conflit, une sortie de Wang Yi, le ministre des Affaires étrangères de Pékin, qui en mars expliquait « regretter profondément » le conflit. Une manière de ne pas approuver la guerre sans pour autant charger ni son allié russe, ni ses partenaires commerciaux. Une ligne de crête dont Pékin a donc commencé à s’écarter ce
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Re: Sondage sur l'écologie
Ce qui ressort des premiers résultats c'est que nous sommes tous d'accord sur un point ... on ne croit pas que nos dirigeants sont à la hauteur
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Re: Sondage sur l'écologie
Ah ben non on en a un qui a confiance en nos dirigeants
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Re: Sondage sur l'écologie
Le pire arrivera pour les générations à venir, nous avons juste le choix de le rendre moins pire ou pas.
Après notre prise de conscience jusqu'à la conviction (c'est la majorité ), je crois que le bon sens n'est pas de geindre ou d'accuser Pierre ou Paul ou Vladimir car leur temps passera à court ou moyen terme.
Le problème c'est la société, c'est nous depuis deux siècles : recherche effrénée des moyens pour avoir du temps libre, des loisirs, obtenus grâce au pétrole. Croissance, croissance: moteur de l'économie.
Faut il se questionner sur ses achats, ses loisirs, ses transports et les remettre éventuellement en question, les gourous le préconisent, pas sûr de faire toujours tout bien... Je ne passerai pas Blue à l'élec!
Après notre prise de conscience jusqu'à la conviction (c'est la majorité ), je crois que le bon sens n'est pas de geindre ou d'accuser Pierre ou Paul ou Vladimir car leur temps passera à court ou moyen terme.
Le problème c'est la société, c'est nous depuis deux siècles : recherche effrénée des moyens pour avoir du temps libre, des loisirs, obtenus grâce au pétrole. Croissance, croissance: moteur de l'économie.
Faut il se questionner sur ses achats, ses loisirs, ses transports et les remettre éventuellement en question, les gourous le préconisent, pas sûr de faire toujours tout bien... Je ne passerai pas Blue à l'élec!
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Re: Sondage sur l'écologie
Pour tous ceux qui prétendent savoir voici le point de vue d'un polytechnicien pro nucléaire sur la voiture électrique... maintenant je suis sûr que certain du haut de leur certificat d'étude.
Pour en revenir au sujet....
Nous sortir Jancivici en argumentaire en premier jet, c' est un peu du Vladimir avec son nucléaire, la gross Bertha d' entrée?
Par contre si Jancovici dénigre la solution électrique actuelle qui accouche dans la précipitation, il ne cautionne pas pour autant le tout "carburant-carbone" sous sa forme actuelle et préconise " 1, 5l aux 100 " dans ses propos.
Mais soyez assuré, on y arrivera à la mobilité électrique avec ou sans ampères-mètres et assez rapidement.
Des solutions de source alternatives d' énergie presqu' inépuisables émergent, regardez voir "choucroute garage", je n' en dis pas plus.....
Mais à qui ne profitera plus la filiére quoique, j' vous le donne émile: budget généré par la mobilité 54 G€, reversement pour l' amélioration des infrastrures rourtières quasi marginale, gestion des budgets par notre état.
Pour en revenir au sujet....
Nous sortir Jancivici en argumentaire en premier jet, c' est un peu du Vladimir avec son nucléaire, la gross Bertha d' entrée?
Par contre si Jancovici dénigre la solution électrique actuelle qui accouche dans la précipitation, il ne cautionne pas pour autant le tout "carburant-carbone" sous sa forme actuelle et préconise " 1, 5l aux 100 " dans ses propos.
Mais soyez assuré, on y arrivera à la mobilité électrique avec ou sans ampères-mètres et assez rapidement.
Des solutions de source alternatives d' énergie presqu' inépuisables émergent, regardez voir "choucroute garage", je n' en dis pas plus.....
Mais à qui ne profitera plus la filiére quoique, j' vous le donne émile: budget généré par la mobilité 54 G€, reversement pour l' amélioration des infrastrures rourtières quasi marginale, gestion des budgets par notre état.
- Arnaud
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Re: Sondage sur l'écologie
C'est préoccupant mais je travaille dur à des solutions techniques...les seules qui auront vraiment un impact global...
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Re: Sondage sur l'écologie
Pourquoi des solutions techniques alors que le problème est purement humain.Arnaud a écrit :C'est préoccupant mais je travaille dur à des solutions techniques...les seules qui auront vraiment un impact global...
Sans arrêt de la croissance démographique immédiat et diminution aussi rapide que drastique (sur un siècle maximum) il n'y a pas d'avenir pour l'humanité sur cette planète. Deux à trois milliards d'individus, ce que nous avions au milieu du siècle passé sont écolonomiquement parlant le maximum supportable sans dommages irréversibles pour elle.
Re: Sondage sur l'écologie
Les projections démographiques pour la fin de ce siècle qu'on ne connaîtra pas réduisent à 5 milliards d'habitants sur terre en 2100...baisse considérable de la natalité en Occident, en Chine et dans les pays émergents.
On le sait nous-mêmes déjà un peu, nos gosses veulent une carrière et ne veulent plus... ou peu de gosses.
L'ennui de cette projection c'est la progression démographique de l'Inde et de l'Afrique qui ne s'arrêtera pas d'ici là.
A quoi ressemblera alors le monde ou simplement la France de nos petit enfants ???
Le débat est ouvert.
On le sait nous-mêmes déjà un peu, nos gosses veulent une carrière et ne veulent plus... ou peu de gosses.
L'ennui de cette projection c'est la progression démographique de l'Inde et de l'Afrique qui ne s'arrêtera pas d'ici là.
A quoi ressemblera alors le monde ou simplement la France de nos petit enfants ???
Le débat est ouvert.
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Re: Sondage sur l'écologie
Plus il y a de fous moins il y a de riz
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Re: Sondage sur l'écologie
...Il manque l' option : l'écologie, peut-être et même sans doute, mais gérée par qui ?...( Si c'est par les pignoufs actuels qui balancent tout et n'importe quoi...c'est niet !!! )TheLastMohican a écrit :Donnez votre opinion sur la situation de la pollution actuelle
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Re: Sondage sur l'écologie
Mon petit yvre, on a les dirigeants qu'on mériteyvre a écrit :...Il manque l' option : l'écologie, peut-être et même sans doute, mais gérée par qui ?...( Si c'est par les pignoufs actuels qui balancent tout et n'importe quoi...c'est niet !!! )TheLastMohican a écrit :Donnez votre opinion sur la situation de la pollution actuelle
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Re: Sondage sur l'écologie
Pas sûr que cela suffiseArnaud a écrit :C'est préoccupant mais je travaille dur à des solutions techniques...les seules qui auront vraiment un impact global...
Et pour un impact global, suffit de fermer le robinet.... je plaisante quoi que
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Re: Sondage sur l'écologie
Tout ça ce n'est que de la communication ! Les chinois ça les arrange bien le conflit, ils achètent du gaz aux russes pour le revendre 5 fois plus cher aux européensAMMG a écrit :le malade mental russe
De plus en isolé et décrédibilisé?
mer. 21 septembre 2022 à 2:25 PMmercredi 21 septembre.
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Après des mois passés à ménager son allié russe, la Chine a fini par se positionner ce mercredi 21 septembre en faveur d’un « cessez-le-feu » en Ukraine (photo d’archive prise en février 2022 à Pékin).
GUERRE EN UKRAINE - C’est une évolution dans le positionnement de Pékin par rapport au conflit ukrainien. La Chine a appelé ce mercredi 21 septembre à un « cessez-le-feu à travers le dialogue » dans le conflit armé engagé en février en Ukraine. Une sortie qui fait suite à l’allocution du président russe Vladimir Poutine annonçant une mobilisation militaire partielle de la population.
« Nous appelons les parties concernées à mettre en place un cessez-le-feu à travers le dialogue et la consultation, et à trouver une solution qui règle les préoccupations sécuritaires légitimes de toutes les parties dès que possible », a déclaré un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, lors d’une conférence de presse.
Ménager la chèvre et le chou
Un revirement après avoir tenté de ménager la chèvre et le chou pendant des mois, en restant auprès de son allié géopolitique principal qu’est la Russie de Vladimir Poutine sans pour autant aliéner la relation avec les partenaires économiques ukrainiens et le monde occidental.
C’est en ce sens qu’au mois de mars dernier, quinze jours après le début de l’invasion russe, la Chine s’était abstenue lors du vote à l’ONU d’une résolution exigeant le malade mental russe« que la Russie cesse immédiatement de recourir à la force » et « retire immédiatement, complètement et sans conditions toutes ses forces militaires ».
Pas plus tard que la semaine dernière, lors d’une rencontre entre les dirigeants de l’Organisation de coopération de Shanghai qui se déroulait en Ouzbékistan, Xi Jinping et Vladimir avaient encore affiché leur proximité et leur solidarité, se positionnant clairement en opposition avec le monde occidental.
Un conflit « déploré », et puis c’est tout
« La Chine est disposée à travailler avec la Russie pour assumer leur responsabilité de grandes puissances, jouer un rôle de premier plan et injecter de la stabilité et de l’énergie positive dans un monde parcouru par le chaos », déclarait par exemple le président chinois, avant de continuer en interview pour expliquer qu’il désirait « approfondir la coopération » avec le Kremlin. Des mots dans la continuité de leur rencontre précédente, lors des Jeux olympiques d’hiver de février, quand ils avaient clamé leur « amitié sans limite », quelques jours avant le début de l’offensive en Ukraine.
Depuis, la Chine s’était donc abstenue de toute prise de position approuvant et fustigeant l’invasion. Ce qu’avait semble-t-il accepté Vladimir Poutine. Le chef de l’État russe avait ainsi déclaré en Ouzbékistan « comprendre (ses) questions et (ses) inquiétudes » des Chinois concernant la guerre. « Nous expliquerons en détail notre position », ajoutait-il, sans donner plus de précisions.
Symbole de la recherche d’équilibre qui sous-tend la position chinoise depuis le début du conflit, une sortie de Wang Yi, le ministre des Affaires étrangères de Pékin, qui en mars expliquait « regretter profondément » le conflit. Une manière de ne pas approuver la guerre sans pour autant charger ni son allié russe, ni ses partenaires commerciaux. Une ligne de crête dont Pékin a donc commencé à s’écarter ce mercredi 21 septembre
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Après des mois passés à ménager son allié russe, la Chine a fini par se positionner ce mercredi 21 septembre en faveur d’un « cessez-le-feu » en Ukraine
GUERRE EN UKRAINE - C’est une évolution dans le positionnement de Pékin par rapport au conflit ukrainien. La Chine a appelé ce mercredi 21 septembre à un « cessez-le-feu à travers le dialogue » dans le conflit armé engagé en février en Ukraine. Une sortie qui fait suite à l’allocution du président russe Vladimir Poutine annonçant une mobilisation militaire partielle de la population.
« Nous appelons les parties concernées à mettre en place un cessez-le-feu à travers le dialogue et la consultation, et à trouver une solution qui règle les préoccupations sécuritaires légitimes de toutes les parties dès que possible », a déclaré un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin, lors d’une conférence de presse.
Ménager la chèvre et le chou
Un revirement après avoir tenté de ménager la chèvre et le chou pendant des mois, en restant auprès de son allié géopolitique principal qu’est la Russie de Vladimir Poutine sans pour autant aliéner la relation avec les partenaires économiques ukrainiens et le monde occidental.
C’est en ce sens qu’au mois de mars dernier, quinze jours après le début de l’invasion russe, la Chine s’était abstenue lors du vote à l’ONU d’une résolution exigeant « que la Russie cesse immédiatement de recourir à la force » et « retire immédiatement, complètement et sans conditions toutes ses forces militaires ».
Pas plus tard que la semaine dernière, lors d’une rencontre entre les dirigeants de l’Organisation de coopération de Shanghai qui se déroulait en Ouzbékistan, Xi Jinping et Vladimir avaient encore affiché leur proximité et leur solidarité, se positionnant clairement en opposition avec le monde occidental.
Un conflit « déploré », et puis c’est tout
« La Chine est disposée à travailler avec la Russie pour assumer leur responsabilité de grandes puissances, jouer un rôle de premier plan et injecter de la stabilité et de l’énergie positive dans un monde parcouru par le chaos », déclarait par exemple le président chinois, avant de continuer en interview pour expliquer qu’il désirait « approfondir la coopération » avec le Kremlin. Des mots dans la continuité de leur rencontre précédente, lors des Jeux olympiques d’hiver de février, quand ils avaient clamé leur « amitié sans limite », quelques jours avant le début de l’offensive en Ukraine.
Depuis, la Chine s’était donc abstenue de toute prise de position approuvant et fustigeant l’invasion. Ce qu’avait semble-t-il accepté Vladimir Poutine. Le chef de l’État russe avait ainsi déclaré en Ouzbékistan « comprendre (ses) questions et (ses) inquiétudes » des Chinois concernant la guerre. « Nous expliquerons en détail notre position », ajoutait-il, sans donner plus de précisions.
Symbole de la recherche d’équilibre qui sous-tend la position chinoise depuis le début du conflit, une sortie de Wang Yi, le ministre des Affaires étrangères de Pékin, qui en mars expliquait « regretter profondément » le conflit. Une manière de ne pas approuver la guerre sans pour autant charger ni son allié russe, ni ses partenaires commerciaux. Une ligne de crête dont Pékin a donc commencé à s’écarter ce
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